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Bonne Lecture.
SONATRACH organise ses 11èmes Journées Scientifiques et Techniques (JST11), du 16 – 19 avril 2018
au Centre de Conventions d’Oran.
Cet espace d’échange, d’envergure internationale, a permis depuis son lancement en 1994, aux Cadres de SONATRACH, aux Spécialistes et Experts des différents domaines et aux Chercheurs universitaires, de partager leur savoir et leur savoir-faire et de débattre des actualités scientifiques et techniques liées aux activités de SONATRACH. L’objectif de ces journées est de permettre :
Les axes thématiques retenus pour les JST11 sont détaillés ci-après. Nous vous invitons à y participer, par vos contributions sur ces thématiques. Les problématiques à traiter, les modalités pratiques de participation et d’autres informations complémentaires sont détaillées sur le site web dédié : jst.sonatrach.dz
Les meilleures communications seront primées par thème, et publiées dans un numéro spécial JST11, à l’occasion du 54ème anniversaire de SONATRACH.
Les dates à retenir sont détaillées ci-après :
Les propositions de communications doivent être transmises, exclusivement, à travers le site web : jst.sonatrach.dz et selon le modèle de soumission JST11, au plus tard le 31 mai 2017.
RENSEIGNEMENTS ET INFORMATIONS
Secrétariat Technique des JST11
Siège de l’Activité LRP de SONATRACH à Oran.
Tél. : +213 (0) 41 422 635 – Fax : +213 (0) 41 421 848
Site Web: jst.sonatrach.dz – Mail: sec.jst11@sonatrach.dz
Axes thématiques JST11 (page 1 / 2)
I. AVANCÉES TECHNOLOGIQUES DANS L’UPSTREAM
II. AVANCÉES TECHNOLOGIQUES DANS LE DOWNSTREAM
III. STRATEGIE D’ENTREPRISE ET EVOLUTION DES MARCHES ENERGETIQUES
IV. CHANGEMENT CLIMATIQUE, ENERGIES RENOUVELABLES ET EFFICACITE ENERGETIQUE
V. RESSOURCES NON-CONVENTIONNELLES
VI. DÉVELOPPEMENT DE LA RESSOURCE HUMAINE
VII. DIGITALISATION – TRANSFORMATION NUMÉRIQUE DANS LE SECTEUR OIL AND GAS
Axes thématiques JST11 (page 2 / 2)
VIII. INTÉGRITÉ DES INSTALLATIONS ET DÉFIS TECHNOLOGIQUES
IX. L’ENGINEERING ET LA R&D DANS L’INDUSTRIE ÉNERGÉTIQUE
X. INTÉGRATION NATIONALE ET PARTENARIAT LOCAL
XI. MANAGEMENT DES RISQUES
Article sur El Watan du 03.06.16 |
L’Association algérienne de l’industrie du gaz a organisé, hier au Sheraton, un workshop sur la maintenance des pipelines offshore pour le transport de gaz.
Un sujet «stratégique», a souligné Abdelmadjid Attar, vice-président de l’association, au regard de l’évolution du marché de l’énergie d’ici à 2030. «L’Algérie est et restera, malgré la concurrence, le plus important exportateur de gaz dans le Bassin méditerranéen et surtout le plus fiable.» A Alger, fin mai, pour le Forum Algérie-UE sur l’énergie, le commissaire européen chargé de l’action climatique et de l’énergie, Miguel Arias Canente, avait parlé de «défi à relever pour l’Algérie dans un marché où la demande pour le gaz ne cessera d’augmenter» et de la nécessité pour le pays «d’augmenter sa production».
Il existe pour l’instant trois gazoducs : l’Enrico Mattei qui relie depuis 1982 l’Algérie à l’Italie via la Tunisie, d’une capacité de 33 milliards de mètres cubes par an ; le Pedro Duran Farell, qui relie depuis 1996 l’Algérie à l’Espagne via le Maroc, d’une capacité de 11 milliards de mètres cubes ; Medgaz, mis en service en 1996 entre l’Algérie à l’Espagne pour améliorer la sécurité de l’approvisionnement. D’une longueur de 210 km, il dispose d’une capacité de 11milliards de mètres cubes.
«Si le projet de gazoduc Galsi, reliant directement l’Algérie à l’Italie est réalisé – les études ont été finalisées – alors ce réseau pourra prendre en charge l’exportation de 64 milliards de mètres cubes par an», a précisé Abdelmadjid Attar. Reste à rattraper le retard pris en matière de boosting des gisements existants et de développement de nouveaux gisements.
«L’Algérie dispose encore de capacités de production non négligeables et sa production augmentera d’ici à 2018 grâce aux nouveaux gisements en cours de développement dans le sud-ouest du Sahara», a affirmé l’ancien PDG de Sonatrach, en annonçant un plateau de production pouvant dépasser les 16 milliards de mètres cubes supplémentaires. «Ce type de workshop, qui s’adresse à des techniciens, est très important car il traite d’informations qui ne sont pas forcément disponibles, a souligné par ailleurs Kalad Badji, secrétaire général de l’association.
Notre objectif, c’est justement de les mettre à la portée de tous les acteurs concernés.» Dans la salle, des représentants de Mariconsult, Tecma et Next Geosolutions Europe (Italie), Statoil, DNV GL Oil & Gas, DOF Subsea et KTN (Norvège), TD Williamson (Etats-Unis)… mais aussi de l’Agence nationale de contrôle et de régulation des activités dans le domaine des hydrocarbures (ARH), aussi concernée par ces questions de maintenance. «Nous devons, là encore, ajoute Kalad Badji, parfaire notre réglementation sur la maintenance des gazoducs dans les eaux territoriales.»
Mélanie Matarese